the last show : "La Malédiction d'Arkham" (3)
En 1963, Roger Corman réalise "THE HAUNTED PALACE" tiré du roman de Lovecraft : "L'Affaire Charles Dexter Ward".
"Echappé de Salem, lors de la grande chasse aux sorcières au 17ème siècle, Joseph Curwen s'établit à Providence jusqu'à l'An de Grâce 1871. Son descendant Charles Dexter Ward va perdre peu à peu la raison lors de la découverte de la tombe de son aïeul! Le Docteur Willett ami de la famille va enquêter sur son cas, qui vqa l'entraîner dans une descente aux enfers. Interné dans un asile psychiatrique, Ward s'évade et peu à peu son esprit va s'imprégner de l'esprit du sorcier jusqu'à même à avoir son écriture..."
Tel est un morceau du récit signé par un grand auteur de l'épouvante. Mais ici, comme à l'acoûtumée avec Poe, Roger Corman ne prend que l'idée essentielle et en tourne un film personnel. Ceci dit c'est la permière oeuvre de Lovecraft portée à l'écran. L'oeuvre est magistrale. Tout le film sent une incroyable atmosphère de terreur, d'insdicible peur tapie derrière les murs du manoir de Curwen. Ne serait-ce déjà que par le générique où est montrée une araignée qui tisse sa toile détentrice d'un piège mortel sur un pauvre papillon qui en payera de sa vie! Que dire de l'incroyable prestation de Vincent Price qui joue ici un double rôle psychologique! Il faut le voir se torturer devant le portrait de son grand père où il va subir une malédiction ancestrale.... Price joue a fond la carte de l'héritier qui succombe à l'ambiance morbide du manoir.
"Echappé de Salem, lors de la grande chasse aux sorcières au 17ème siècle, Joseph Curwen s'établit à Providence jusqu'à l'An de Grâce 1871. Son descendant Charles Dexter Ward va perdre peu à peu la raison lors de la découverte de la tombe de son aïeul! Le Docteur Willett ami de la famille va enquêter sur son cas, qui vqa l'entraîner dans une descente aux enfers. Interné dans un asile psychiatrique, Ward s'évade et peu à peu son esprit va s'imprégner de l'esprit du sorcier jusqu'à même à avoir son écriture..."
Tel est un morceau du récit signé par un grand auteur de l'épouvante. Mais ici, comme à l'acoûtumée avec Poe, Roger Corman ne prend que l'idée essentielle et en tourne un film personnel. Ceci dit c'est la permière oeuvre de Lovecraft portée à l'écran. L'oeuvre est magistrale. Tout le film sent une incroyable atmosphère de terreur, d'insdicible peur tapie derrière les murs du manoir de Curwen. Ne serait-ce déjà que par le générique où est montrée une araignée qui tisse sa toile détentrice d'un piège mortel sur un pauvre papillon qui en payera de sa vie! Que dire de l'incroyable prestation de Vincent Price qui joue ici un double rôle psychologique! Il faut le voir se torturer devant le portrait de son grand père où il va subir une malédiction ancestrale.... Price joue a fond la carte de l'héritier qui succombe à l'ambiance morbide du manoir.